AKA: Goliath and the Dragon, La vendetta di Ercole
1960, Vittorio Cottafavi, avec Mark Forest, Broderick Crawford, Gaby André, Italie/France, 87 minutes
Après avoir fini ses douze travaux en terrassant Cerbère et en revenant vivant du royaume des morts, Hercules (Goliath dans la version américaine) veut se reposer et vivre avec sa famille. Celui-ci s'oppose à ce que son fils Illo épouse Thea, la fille de son pire ennemi, Euritos. Celui-ci se sert d'une esclave pour faire croire à Illo que son père veut aussi Thea.
Les séquences d'actions sont bonnes, mais les créatures du film ne sont pas crédible: un Cerbère en marionnette, une chauve-souris géante à tête de chat avec des ailes fabriquées avec des sacs poubelles, un ours, en fait, un acteur déguisé en ours et un dragon en caoutchouc, car oui, il y a un dragon, mais celui-ci semble absent de certaines versions, bien que pour certaines séquences, il soit animé en stop-motion. On ne trouve ça sérieux, mais on s'amuse quand même.
7/10