1991, Mario Van Peebles, avec Wesley Snipes, Ice-T, Allen Payne, 97 minutes
Alors qu'un baron de la drogue connaît une monté dans le milieu, une escouade est mise en place pour mettre fin à ses agissements.
Film difficile à coté, car s'il a l'asir sérieux en apparence, la version québécoise est invonlontairement drôle. Mais c'est en général bien réalisé et assez divertissant dans le genre.
7/10
AKA: Beowulf & Grendel
2005, Sturla Gunnarsson, avec Hringur Ingvarsson, Spencer Wilding, Stellan Skarsgård, Canada/UK/Islande/USA/Australie, 103 minutes
Un roi demande l'aide d'un guerrier car son royaume est ravagé par un troll.
J'ai jamais bien apprecié le blockbuster de Zemeckis, surtout la fin. Autant dire qu'en voyant cette version-ci, je ne m'entendais pas à grand chose. Au final, ce n'est pas mauvais. Il y a de bonnes idées ici et là et de sompteux décors. Les personnages sont bien fouillés et bien campés, à particulier Gerald Butler qui risque d'en surprendre plus d'un. Recommandé.
AKA: Deep Red, Profondo Rosso, The Hatchet Murders
1975, Dario Argento, avec David Hemmings, Daria Nicolodi, Gabriele Lavia, Italie, 126 minutes
Un musicien et une reporter tente d'élucider le meutre d'une médium.
J'ai bien aimé les films de Datio Argento que j'ai regardés, mais celui-là est assez assommant, premièrement, les personnages ne sont même pas intéressants er deuxièmement parce que le rythme est assez lent. Par contre, j'ai bien aimé le premier meurtre et la musique de Goblin. Sinon, c'est une déception.
3/10
AKA: The Taking of Pelham 1 2 3, Pelham 123 - L'ultime station
2009, Tony Scott, avec Denzel Washington, John Travolta, Luis Guzmán, USA/UK, 106 minutes
Un criminel prends en otage les passagers d'un train de métro et dicte ses directive à un aiguilleur pour avoir une rançon.
Cela commence avec des plans accelérés qui donne mal au coeur et ça donne assez bien les couleurs de ce film. Il n'y a certe pas de temps mort, mais j'ai l'impression d'avoir regardé du sous-Michael Bay, sans le patriotisme qui va avec. Le film se suit par contre très bien et les acteurs garde leur sé.rieux pendant tout le long. C'est donc un divertissement assez sympa, mais j'ai vu mieux.
6/10
AKA: Les Dieux d'Égypte
2016, Alex Proyas, avec Brenton Thwaites, Nikolaj Coster-Waldau, Gerard Butler, USA,/Australie, 126 minutes
En Égypte, les hommes vivent en paix avec les dieux. Mais cet ère de paix est brisée, quand le dieu Seth tue son frère Osiris et aveugle son neuveu Horus. Alors que Seth fait un régime de terreur dans toute l'Égypte, un voleur nommé Bek tente de s'enfuir avec sa fiancée, qui est devenue une esclave. Mais dans leur fuite, la fille se fait tuer. Seule solution pour Bek: s'allier avec le dieu Horus pour renverser Seth, car, en échange, il pourrait ressusciter son amie...
L'idée semblait intéressante: faire un film sur la mythologie égyptienne plutôt que sur la mythologie grcque. Sauf que sur une chouette idée, le scénario est au plus au point médiocre et contient que du déjà-vu. Les personnages ne sont pas vraiment intéressants pour deux sous. Mais il y a bien deux choses intéressante dans ce films: le fait qu'il y ait (***SPOILER***) le dieu Anubis, qui n'apparaît pas dans les bandes-annonces et certaines scènes en images de synthèse mémorables. Sinon , c'est à mettre à la poubelle. Cela ne m'étonnerait pas que le film soit nominé aux Razzies Award en fin d'année.
3/10
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