AKA: L'Homme de fer
1989, Shin'ya Tsukamoto, avec Kei Fujiwara, Tomorô Taguchi, Nobu Kanaoka, Japon
Un homme après un accident se transforme en machine.
Je dois dire pour commencer: je n'apprécie guère Eraserhead de David Lynch, donc, quand j'ai appris que les Japonais ont fait leur propre version du film, je n'y ai pas fait attention au début. Mais bien plus tard j'ai décidé de l'écouter. Voici donc mon avis:
Je viens juste de le voir et il très chouette. Un film où le scénario est assez complexe, mais qui se suit aisement. Le film est très violent, mais sans vraiment tanné le spectacteur (ce qui différencie des productions américaines modernes). J'y ai surtout aimé le look des personnages cyborgs, non copiés sur Terminator, ce qui fait du bien. Il y a aussi la bande originale du film qui restera longtemps dans ma mémoire. L'un des trucs agaçants par contre , ce sont ces scènes, mélange de stop-motion et d'accélérés que le réalisateur semble abuser dans le film, mais cela n'empêche pas Tetsuo d'être un film dérangeant , mais tout à fait fascinant.
7/10
Cette image est tiré du numéro 150 du magazine Séquence.
AKA: C'est l'enfer
2004, Christopher Smith, avec Franka Potente, Sean Harris, Vas Blackwood, UK/Allemagne, 85 minutes
Une jeune femme emprisonné dans le métro est poursuivi par un sinistre personnage.
C'est effrayant et efficace, pas comme les productions pour adolescents de Platinum Dune. Le méchant est assez effrayant, même si les autres personnages ne sont pas très intéressants. D'ailleurs, du méchant, on ne sait pas son histoire en proprement parler. Un autre film flippant en provenance d'Angleterre, avec The Descent.
6/10
Une épidemie s'est répendu dans toute l'Écosse Voilà qu'on envoie une soldat, accompagné d'un groupe cherché le docteur qui pourrait créer un antidote. Mais, problème: il serait situé dans la zone de quarantaine qui a été condamné depuis longtemps par l'armée , où vivent des hordes de barbares.
Une grosse surprise que ce film: ici, le réalisateur mélange plusieurs genres et s'en tire avec succès. Il y a le début qui est plus post-apocalyptique, puis l'escale chez les maraudeurs et ensuite une partie dans un château qui renvoie aux récits du Moyen-Âge pour enfin finir sur une course-poursuite à la Mad Max. Que du bon !
7/10
AKA: Universal Soldier: Le Jour du jugement
2012, John Hyams, avec Jean-Claude Van Damme, Dolph Lundgren, Scott Adkins, USA, 114 minutes
Un homme amnésique traque le responsable du meurtre de sa famille: Luc Deveraux, un super-soldat quii tente de lever une armée.
J'avais bien aimé le précédent volet, donc j'embarque dans ce autre volet. La trame est différente: ici, le personnage de Jean-Claude Van Damme est l'antagoniste du film, alors que c'est le héros dans les autres films. L'intrigue n'a tellement rien à voir avec les autres films qu'il risque de troubler les néophytes. Par contre, on retiendra surtout les combats, qui sont bien chorégraphiés, surtout la confrontation finale, qui est juste de l'action intense. Pour les acteurs, c'est assez mitigés, l'interprète du héros se débrouillen bien, comme Dolph Lundgren, mais Jean-Claude Van Damme ne retiendra pas grand monde avec son jeu innexpressif. Et , juste pour pas oublier, il y a aussi d'insupportables séquences épileptiques qui font mal aux yeux.
6/10
2014, Stuart Beattie, avec Aaron Eckhart, Bill Nighy, Miranda Otto, Australie/USA, 92 minutes
AKA: Fantastic Four
2005, Tim Story, avec Ioan Gruffudd, Michael Chiklis, Chris Evans, USA/Allemagne, 106 minutes
Quatre astronautes se transforme en justicier après avoir été en contact avec des rayons cosmiques. Il vont devoir affronté le chef de la mission, qui s'est transformé en super-villain Dr. Fatalis.
Ce n'est pas entièrement mauvais, il y a quelques séquences intéressants, certaines séquences sont très drôles mais on oublie rapidement le film après l'avoir vu. À voir surtout pour combler un longue soirée.
5/10
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